La place de la République est située sur les anciens jardins du couvent des Carmes. Elle se situe au coeur de la ville, et accueillait les promeneurs et les mainifestations, civiles et militaires. L’érection du kiosque à musique en 1877 a permi d’y accueillir les revues du 14 juillet, puis les foires de la Saint Martin, et plus tard les stands et les spectacles des foires expositions.
Installé sur l’emplacement du couvent des Carmes, le Palais de Justice a été construit en 1869 par l’entrepreneur Clochard, à l’image des temples grecs avec ses puissantes colonnes et son fronton triangulaire, il est à l’image imposante de nombreux monuments de la fin du XIXè siècle.
L’ Hôtel des Postes Téphones et Télégraphes à quité la placr pour s »implanter à la place de l’ Hôtel Alain, rue de la Résistance.L’immeuble de l’ Hôtel des Postes est devenu une banque, puis un cabinet d’avocats.
La statue de bronze réalisée par Terroir, d’ Albert Claveille, né à Tuilière, ingénieur des ponts et chaussées, directeur des chemins de fer, ministre des travaux publics sous Clémenceau, fut volée par les Allemands en 1941, sa copie a été réalisée par le bergeracois Jean Varoqueaux.
Le Square des Mobiles, élevé à la gloire du régiment des Mobiles de la Dordogne, honore une des rares victoires remportées sur les Prussiens lors de la désastreuse guerre de 1870.C’est le Bergeracois Paul Mounet, de la Comédie Française qui a posé, en soldat blessé, pour le sculpteur Roubaud.
Ancienne rue du Canelet, la rue des Carmes se situe sur l’ancien chemin royal qui rejoignait Perigueux, ainsi que sur un bras couvert du Caudeau.C’était la rue des cinémas (Cyrano, Club et Odéon), et du Café-dancing le Tortoni.
Le boulevard de Varsovie rend homage à la résistance de la Pologne à l’invasion Germano-Russe de 1939. La Caisse d’épargne érigée en 1932 a cédé la place à la Sécurité Sociale en 1969.
La place est bordée par la rue Neuve d’Argenson, le boulevard de Varsovie et la rue des Carmes,